De plus en plus, les réformes se succèdent au Bénin. Ce qui est sûr, les Béninois ont dès le départ apprécié la libérations des artères principales. Cela a, certes donné une autre image de nos grandes villes notamment Cotonou. Mais au-delà de la libération, l'Etat doit aménager ces places et artères publiques au lieu de démarrer en même temps les déguerpissements des rues secondaires.
Cela donne l'impression que l'objectif premier n'est pas de rendre belle les villes.
Autre chose, c'est la décision interdisant la circulation des Zém sur les artères principales de Cotonou à partir du 1er mars 2017. Ceci va progressivement supprimer l'activité de ces motocyclistes dans la capitale économique, car ne nous voilons pas la face: les voies secondaires seules ne peuvent pas permettre à un Zém d'exercer normalement.
Il y a une gêne à mon niveau: Je suppose qu'une dame ''déguerpie'' de son lieu de commerce a pour époux un Zém. Cela signifie qu'en trois mois, les activités de la famille s'arrêtent.
Le maître pensant des réformes |
Les démolitions |
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